• - 174 -

     

    _ Euh, je … ma tante ? Soufflai-je en la regardant.
    Je ne saurais décrire le sentiment qui m'avait envahie à cet instant. A la fois heureuse, mais aussi complètement désemparée, mais en même temps, ça devait être tout à fait normal vu la situation. Pourtant, quelque part au fond de moi, j'étais éperdument triste, je dirais même déçue. Je m'étais attendue à mon oncle sur le pas de cette porte, à sa tignasse rousse, son bon mètre quatre vingt, son sourire chaleureux et son regard rieur. A la place, c'était cette femme, cette Iris avec ses deux enfants, blonds, sans traits communs visibles avec mon oncle. Seulement sa parole, et mon excitation finit par tomber pour laisser place à une amère frustration. Encore une inconnue, toujours pas d'oncle.

     

    - 174 -

     

    _ Oui ... reprit-elle avant de se faire couper la parole par ma mère.
    _ Bon écoute Iris, j'ai pas très envie de me répéter, mais sors de chez moi. Tu sais très bien que tu n'es pas la bienvenue.
    Je sortis finalement de ma léthargie et me tournai vers ma mère, les poings serrés et hors de moi, prête à sortir de mes gonds pour assassiner tout ce qui pouvait passer sous ma main.

     

    - 174 -

     

    _ Tu … tu le savais, et tu m'as rien dit ! Pourquoi ?! Tu sais très bien que j'ai besoin de Raise, pourquoi tu m'empêche de le voir ?! Pourquoi tu brûles les lettres qu'il m'envoie ?
    Maman se contenta de me regarder pendant que mes larmes dévalaient sur mes joues. Mes yeux me piquaient, je reniflai bruyamment, mais tout mon être était littéralement en train d'exploser. Je voulais que toute cette haine sorte, que tout ce que j'ai ressenti sur ce qu'elle m'a fait lui arrive en plein dans le visage. Je voulais qu'elle sache à quel point elle m'avait fait souffrir, je voulais qu'elle comprenne que depuis que Raise est sorti de ma vie, je n'ai pas réussi à être heureuse, une seule fois.

     

    - 174 -

     

    _ J'ai … j'ai eu mes raisons Mélie, je suis ta maman, je ne souhaite que ton bonheur et ta sécurité, rien d'autre.
    Elle n'ajouta rien de plus, et pendant quelques secondes qui me parurent interminables, un silence lourd envahi la pièce, et même la maison. Seuls les rires de deux enfants arrivaient à casser cette monotonie. Puis Iris me tendit un bout de papier, sans un mot.

     

    - 174 -

     

    Elle se contenta de me sourire, que je pus tout de suite traduire par : « Fais moi confiance ». Et c'est exactement ce que je fis. Je pris le papier, le regardai pour y apercevoir ce qui semblait être une carte de visite avec un numéro de téléphone puis je relevais la tête. Ma « tante » avait attrapé ses enfants dans ses bras et rebroussait chemin. Et accroché à son épaule, l'un des deux garçonnets agita sa main vers moi.
    _ 'Voir madame !!
    Je ne répondis pas, me contentant d'un simple et léger sourire. Maman, qui était également restée silencieuse ferma la porte derrière Iris, alors que je ne cessai de regarder cette carte de visite, la rage montant en moi comme le mercure dans un thermomètre par une journée de canicule.

     

    - 174 -

     

    _ Tu t'es complètement foutu de ma gueule, soufflais-je à l'intention de ma mère.
    Elle ne releva pas ma réplique, mais je savais qu'elle me regardait, bien que j'eus la tête baissée. Je serrais la carte entre mes mains; avant de lui exploser ma rage à la figure; bien décidée à la faire souffrir comme elle m'a fait souffrir, bien qu'elle soit ma mère.
    _ Mais tu t'es prise pour qui putain ?! T'avais aucunement le droit de m'empêcher de voir Raise ! C'est le frère de papa !! Merde !

     

    - 174 -

     

    _ Il est dangereux Mélie, qu'est-ce que tu ne comprends pas dans ces mots là ? Il a tué sa mère, a frappé plusieurs personnes sans raison légitime. C'est mon rôle de te protéger ! Et j'étais bien contente de savoir qu'il partait il y a dix ans. Bon débarras !
    _ Parce que tu crois que toi, tu as été une sainte peut-être ? Personne ne fait d'erreur dans la vie ? T'es qu'une égoïste, tu le sais au moins ça ? Et j'ai le droit de connaître ma famille. J'aurais préféré être la fille de Meredith, au moins je sais que j'aurais été aimée à mon juste titre !

     

    - 174 -

     

    Et sur ces mots, les larmes balayant mon visage, je grimpai dans ma chambre, en insultant ma mère de tous les noms, tandis qu'elle restait debout au milieu de l'entrée, les bras ballants et le visage décomposé. Grand bien lui fasse, elle n'a eu que ce qu'elle méritait.

     

    - 174 -

     

    Et alors que je passais la porte de ma chambre, je tombais nez à nez avec Emilien. Je l'avais même oublié avec mes histoires, jusqu'à oublier notre presque baiser sur mon lit. Je me sentais affreusement nulle de l'avoir abandonné de la sorte, surtout que ses oreilles ont pu profiter d'un agréable théâtre de boulevard, un véritable vaudeville, les Feux de l'amour version Famille Hart.

     

    - 174 -

     

    _ Je … je suis désolée que tu aies du entendre tout ça … lui dis-je, honteuse. C'est pas toujours aussi animé à la maison, j'espère que tu me crois.
    _ T'inquiète pas, j'ai rien entendu … Tu veux reprendre où on s'était arrêté avant que tu te déboules au rez-de-chaussée ?

     

    - 174 -

     

    A ces mots, je ne pus m'empêcher de rougir, puisque le seul truc dont je me rappelle avant de me barrer à toute vitesse, c'est d'avoir manqué d'embrasser Emilien. Je baissai la tête, rouge pivoine, espérant oublier ce passage, et surtout, espérant qu'il ne souhaite pas poursuivre ça …
    _ Je te parle des cartes Mélie, pour aller à Saint Louis.
    _ On en a plus besoin, lui dis-je en ramassant tout ce qui traînait sur mon lit. Mon oncle est à Bloomigton, plus besoin d'aller le chercher à Pétaouchnok. Désolée de t'avoir dérangée pour ça, vraiment.
    _ T'excuses pas, je le faisais avec plaisir.
    Il me contourna avant de se diriger vers la porte, sous mon regard perdu. Il se tourna vers moi, me relevant la tête doucement, pour me regarder dans les yeux, tandis que je me figeais. Il m'adressa un petit sourire.

     

    - 174 -

     

    _ Je vais rentrer chez moi, et … oublie ce qu'on a failli faire, c'était pas sérieux. Tu penses encore à ton ex, et je crois que je suis pas prêt à avoir de copine, je préfère résoudre mes problèmes avant. J'espère que ça ne t'ennuie pas.
    Médusée, je le regardais. J'étais descendue dix minutes, et j'avais l'impression d'avoir un autre Emilien devant moi, plus adulte, plus sûr de lui. Comme s'il avait eu l'illumination de sa vie. Et je repensai à sa réaction, juste alors qu'il allait m'embrasser, de sa grimace d'incompréhension qui avait balayé son visage en une fraction de seconde, comme s'il avait trouvé quelque chose simplement en me regardant.
    _ Ah euh, non, ça ne m'ennuie pas, au contraire. Mais maintenant que j'ai retrouvé mon oncle, je vais tenir mon autre part du marché, je vais t'aider à retrouver ton père. Comme promis.

     

    - 174 -

     

    _ Ce n'est plus la peine, je l'ai trouvé. J'ai pas préféré t'en parler, c'est tout. On se voit au lycée demain, d'accord ?
    J'acquiesçai d'un simple hochement de tête, puis il sortit de ma chambre. Je l'entendis s'excuser auprès de ma mère pour le dérangement, et pour les assiettes, et la porte d'entrée claqua derrière lui. Je m'écroulais alors sur mon lit, serrant la carte de visite sur mon cœur, ne sachant pas comment faire suite à ce que je venais de voir, de comprendre.

     

    - 174 -

     

    Je ne savais même pas comment j'allais me débrouiller pour parler avec lui une fois que je l'aurais au téléphone. Je sais que c'est idiot de penser ça, après tout c'est mon oncle, mais comment je vais bien pouvoir commencer la discussion ? Je suis même presque sûre à deux cents pour cent que je vais perdre tous mes moyens quand je vais entendre sa voix. Je vais tout faire foirer, et il va trouver sa nièce complètement débile, complètement nulle, et que ses gamins sont certainement plus intelligents que moi alors qu'ils portent encore des couches.

     

    - 174 -

     

    Je regardai la carte de visite, tout en soupirant, puis me levai pour aller la ranger à côté de la photo de Papa. Après tout, si je me triture autant les méninges pour appeler mon oncle, c'est que je ne dois pas me sentir prête pour le revoir. Tout simplement. Je verrais ça une prochaine fois.

     

     


  • - 175 -

     

    La semaine avait fini par passer, irrémédiablement. Je fais toujours la gueule à Maman, qui s'excite dans tous les sens contre moi, alors que Drew tente de la raisonner pour le bien du bébé qui ne doit avoir guère envie de jouer aux montagnes russes dans le ventre de son adorable maman. Leurs fausses chamailleries m'avaient empêché de travailler comme je voulais sur ma dissertation d'histoire, et je m'étais exilée dans le parc le plus proche de chez moi, ce qui vous explique ma présence ici.
    _ Mélie ! Me héla quelqu'un.

     

    - 175 -

     

    Je redressai alors la tête pour voir Emilien, tenant le guidon de son vélo dans la main, qui s'approchait de moi. Je lui souris, posai mes livres à côté de moi sur le banc et lui fis signe de s'approcher, ce qu'il fit sans hésiter.
    _ Je ne te dérange pas ? Me demanda-t-il en posant son vélo contre le buis derrière mon banc.
    _ Non, pas du tout, je suis juste en train de fuir les chamailleries de Maman et Drew, ils me tapent sur le système.

     

    - 175 -

     

    _ Toujours pas réconciliée avec ta mère ?
    _ Certainement pas ! Je compte pas lui pardonner une connerie qu'elle traîne depuis près de dix ans. Je n'ai peut-être que seize ans, mais c'est pas une raison pour se foutre de ma gueule !
    Emilien me regarda comme si je venais d'atterrir sur le banc comme une extraterrestre, avant d'esquisser un sourire que je ne compris pas trop. Et à mon regard interrogatif, il ne répondit que par un mouvement de la main signifiant qu'il ne s'étendrait pas sur le sujet. Dommage.

     

    - 175 -

     

    _ Sinon, tu as vraiment seize ans ?
    _ Euh oui, je les ai eu il y a une dizaine de jours, le dix-huit avril, pourquoi ?
    _ T'es plus âgée que moi, dit-il en esquissant un sourire. Je te croyais de la fin de l'année.
    _ Ah non, pas du tout. Mais t'as quatorze ans alors ? T'as sauté une classe ?
    _ Non, j'en ai quinze, je vais avoir mes seize dans deux semaines, le dix mai.
    _ Ça fait de moi l'aînée quand même ! La classe à Dallas, tu me dois le respect plus qu'à quiconque, réalise donc mes souhaits esclave, je te l'ordonne ! Lui dis-je en riant.
    _ Certainement pas, tu te démerdes avec tes corvées …
    _ Tant pis, j'essaierais de dompter Fiona.

     

    - 175 -

     

    Je haussai les épaules, puis repris mes cahiers, voulant faire mine de le snober, mais il ne plongea pas du tout dans ma combine. A la place, il posa sur un de mes livres une photo abîmée, trouée par un mégot de cigarette ou la flamme d'un briquet, sur l'un des visages de la photographie. C'était un couple de jeune mariés, et le visage de l'homme était méconnaissable.
    _ Je l'ai trouvée dans les affaires de maman, en cherchant des photos d'avant ma naissance. C'est sa photo de mariage, et lui, je ne sais pas qui c'est. Il n'y a aucun nom d'inscrit, et le visage, comme tu le vois, est brûlé.

     

    - 175 -

     

    _ C'est ton père ?
    _ J'en sais rien, je ne peux faire aucune déduction. Ma couleur de cheveux, la couleur de mes yeux, et même les traits de mon visage, on les retrouve dans les membres de ma famille. A croire que tout est fait pour me faire croire que je n'ai vraiment pas de père.
    _ Pourquoi tu me montres cette photo alors ? Je ne risque pas de savoir plus de choses sur ta famille que toi, tu ne crois pas.
    _ Parce que j'aurais espéré que tu …
    _ Mélie !

     

    - 175 -

     

    Je sursautais à ce hurlement, lancé par une voix forte et puissante, que je cherchais du regard avant de tomber sur un homme, au loin. Grand, brun, la peau tannée et un visage digne d'avoir été sculpté par Michel-Ange. Saint Priam se trouvait devant moi, et je n'arrivais pas à décrocher mon regard de lui. Qu'est-ce qu'il pouvait bien me vouloir ? J'étais en pleine discussion avec Emilien moi.

     

    - 175 -

     

    _ Tu peux venir ? Me demanda-t-il, plus faiblement, histoire de ne pas alerter tout le parc. Deux minutes, je voudrais te parler.
    Sa tête faisait peine à voir, et moi, faible que je suis, je me levai. J'installais mes cahiers dans mon sacs à bandoulière, je mis celui-ci contre le banc à côté d'Emilien et rendit à ce dernier la photo du couple.
    _ Je fais vite, promis.
    Et j'approchai de Priam, pour entendre ce qu'il avait à me dire.


  •  

     

     

    ♫ Bright Lights - 30 seconds to Mars

     

    - 176 -

     

    I've been dreaming of things yet to come // J'ai rêvé des choses déjà arrivées
    Living, learning, watching, burning // Vivre, apprendre, regarder, brûler
    Eyes on the sun // Les yeux sur le soleil

     

    - 176 -


    Im leaving, gone yesterday // Je m'en vais, je suis parti hier
    Brutal, laughing, fighting, fucking // Brutalement, riant, combattant, baisant,
    The price I had to pay // Le prix que j'ai dû payer

     

    - 176 -

     

    Bright lights, big city // Lumières éclatantes, grande ville
    She dreams of love // Elle rêve d'amour
    Brights lights, big city // Lumière éclatantes, grande ville,
    He lives to run // Il vit pour courir 

     

    - 176 -


    Demon, where did my angel go // Démon, où mon ange est-il parti ?
    Vacant, vapid, stupid, perfect // Vide, futile, stupide, parfait,
    You are the one // Tu es la seule

     

    - 176 -

     

    A new day, a new age, a new face, a new lay, // Un nouveau jour, un nouvel âge, un nouveau visage, un nouveau repos
    A new love, a new drug, a new me, a new you // Un nouvel amour, une nouvelle drogue, un nouveau moi, un nouveau vous

     

     

    - 176 -

     

    Bright lights, big city // Lumières éclatantes, grande ville
    She dreams of love // Elle rêve d'amour
    Brights lights, big city // Lumière éclatantes, grande ville,
    He lives to run // Il vit pour courir  

    - 176 -


    Woaoah - ohoh

    - 176 -


    I forgive // Je pardonne
    Had enough // C'en est assez
    Time to live // Il est temps de livre
    Time to love // Il est temps d'aimer

     

    - 176 -


    Time to live // Il est temps de vivre
    Time to love // Il est temps d'aimer

     

    - 176 -


    Time to live // Il est temps de vivre
    Time to love // Il est temps d'aimer 

    - 176 -


    Woaoah – ohoh

     

    - 176 -


    To run to run to run to run // De courir, de courir, de courir, de courir

     

    - 176 -


    Time to live // Il est temps de vivre
    Time to love // Il est temps d'aimer

     

    - 176 -


    Time to live / Il est temps de vivre
    Time to love // Il est temps d'aimer

     

    - 176 -


    Bright lights, big city // Lumières éclatantes, grande ville
    She dreams of love // Elle rêve d'amour
    Brights lights, big city // Lumière éclatantes, grande ville,
    He lives to run // Il vit pour courir 

     

    - 176 -


  • Episode 2x01

     

    Oh mais que vois-je ? Ne serait-ce pas là un nouveau décor ? Newcrest est-il écrit en haut. Voyons voir. A-t-on d’autres indices ? Mais là, là je peux cliquer sur un petit i, symbole d’informations. Voyons voir et cliquons.

     

    Episode 2x01

     

    « Ne vous laissez pas tromper par l’abondance d’espace » Ca c’est sûr que question espace, il y a de quoi faire par ici. Quinze terrains vides, c’est plutôt pas trop moche. Continuons notre lecture. « Regardez autour de vous » ça c’est déjà fait, poursuivons. « admirez le superbe paysage et explorez les possibilités illimitées » Mmh, ca donne même bien envie tout ça. « Vous le voyez ? » Qui ca donc ? De quoi ? « C’est votre tout nouveau monde ! » Bien évidemment, je l’avais déjà vu ça. « Alors, qu’attendez-vous ? » Des informations pardi ! Bon, visiblement, c’est pas ici que je vais avoir des idées sur ce qu’il se passe. Tiens, je ne l’avais pas encore remarqué, mais il y a un diamant vert juste ici. Cliquons.

     

    Episode 2x01

     

    « Crevetator » « 30x30 » Mais que … ne serait-ce pas là nos bons amis ? Mais il n’y a pas de maison. Je ne comprends rien. Ils avaient déjà eu une belle maison, non ? Quelque part au bord de la mer. Pourquoi ici le terrain est vide ? Pourquoi je ne comprends rien ? Et bien, entrons mes amis, entrons.

     

    Episode 2x01

     

    STOOOOP ! Que je me situe ! Cet écran est différent. J’en ai jamais vu un aussi étrange. Et puis c’est quoi ce « bien » là à gauche, en bas. Oui là, le « bien ». C’est quoi ?

    - On est des sims 4 Andouille !! Arrête de te poser des questions bêtes et viens donc nous voir ! Approche je te dis, tout prêt. Moi je vais t’expliquer.
    Qui me parle ? Ou êtes vous ?

    - Sous ton nez imbécile ! La rousse là, avec le diamant au dessus de la tête. Approche.


    votre commentaire
  • Episode 2x02

     

    - Voilà, très bien, c’est moi qui te parle. Tu m’as trouvée ! Il était temps. Bonjour Créatrice moisie et coincée. Tu te rappelles de moi ?

    Pour être très honnête, je dois vous avouez que non mademoiselle. Mais devrais-je vous connaître ?

    - Maya Crevetator ! Tu sais, ton vieux legacy pourri sims 3 que tu as abandonné au bout d’une MaJ parce que franchement le gameplay c’était pas ça et tu nous as donc oublié comme de vieilles chaussettes usées dans le fond de ton tiroir.

    Dis m’en plus, tu m’intéresses Demoiselle Crevetator.

    - Et bien, j’ai décidé de passer de ton fichier de sauvegarde sims 3 dans ton fichier de sauvegarde sims 4. Et voilà le résultat. Sauf que bon, j’ai eu un petit problème lors de mon voyage interespace simsien. L’autre imbécile m’a suivi tu vois, il voulait pas être seul, et le temps que je dise OUF il était déjà là.

    Qui est donc cet « autre imbécile » ?

     

    Episode 2x02

     

    Ah ! Monsieur coiffé par Sorcellerie. Serait-ce bien toi ? Comment t’appelais-tu déjà ? Juan ? Alceste ? Je sais que c’est un personnage de théâtre. Aide moi s’il te plait.

    - C’est Cyrano. Et cherche pas, le voyage lui a brûlé les derniers neurones, il est incapable de te répondre.

    - Gaaaaaaaaaaaah ! ‘rano de ‘gerac ! c’moi !! Papilloooooooon !

    - Et voilà, qu’est-ce que je disais. Bon, tant que tu es là, tu crois que c’est possible, tu crois, de nous faire une cabane de legacy pas trop dégueulasse avec le confort a minima ? Et je ne dors pas dans la même chambre que lui ! Je me suis faite bien comprendre ?

    Oui Mademoiselle. Et Bobidibobidibou !

     

    Episode 2x02

     

    Et voici votre nouvelle maison. Vous plait-elle ? Bien sûr, avec votre budget vous ne risquiez pas d’avoir le confort du premier coup, mais si vous parveniez à bien vous entendre, on gagnerait de l’argent en abattant un mur et en vous logeant dans le même lit. Qu’en penses-tu ?

    - Certainement pas ! Maintenant dis moi où est la télévision ?

    Il n’y en as pas. Il va falloir travailler pour ça.

    - Pardon ?! Travailler ? Moi ? Certainement pas. Tape nous un petit motherlode, allez, je sais que tu en meurs d’envie. Tu l’as bien fait la dernière fois.

    Mais cette fois-ci, c’est un vrai legacy. Allez, ouvre ton téléphone Maya.

    - Grmmbbbllll

     

    Episode 2x02

     

    - Un travail, un travail. Non mais et l’autre là, il va trouver un travail aussi où il va continuer à jouer avec le frigo et la cafetière comme la dernière fois ?

    Ne t’inquiète pas, la cafetière n’est pas encore en place, il ne risque absolument rien. Et il va aussi se trouver un travail, il n’aura pas le choix. Allez, que nous proposes-tu ?

    - Ca :

     

    Episode 2x02

     

    - Criminelle !! Allez, dis moi oui s’il te plait ! Je veux être parrain du crime ! C’est mon rêve de gosse, et je peux le réaliser ici, allez, dis moi oui.

    « Recrutement de : sim pas commode » Ca te va bien remarque, c’est exactement ton caractère. Mais j’aurais quand même bien aimé te trainer dans une des carrières où moi aussi je participe vois-tu. Détective, Savant fou, Médecin …

    - Savant fou, ça irait bien à l’autre imbécile, bidouiller des machines et tout et tout … Allez, soit cool.

    Très bien, très bien, j’abdique, te voilà devenue « sim pas commode »

     

    Episode 2x02

     

    - Youhou !!! Femme de malfrat, c’est mon entreprise c’est ça ? C’est franchement super cool.

    A ta place, j’essaierais plutôt d’augmenter ta performance au boulot. Tu as vu, on te demande d’effectuer des interactions malicieuses. Tu pourrais nous trouver un charment voisin à aller embêter, qu’en penses-tu ?

    - Pourquoi embêter le voisin quand on a Cyrano sous le nez ?

    Cyrano, tu es censée faire des bébés avec lui, alors ne va pas te le mettre à dos, ce sera contre productif. Va chercher un voisin je te dis, moi je vais chercher un boulot pour Cyrano. Allez, va t’entrainer « Sim pas Commode ».

    - Je te hais, tu le sais ça. Et jamais je n’aurais de bébé avec Cyrano, c’est même pas la peine d’y penser. Et imagine la tronche des gosses après quand ils récupèreront son horrible nez de trois kilomètres !

    Ah mais c’est vrai, ce nez ! Je ne l’ai pas encore vu !!


    votre commentaire